Visite Galerie Duchamp, Yvetot, Exposition Situation Room, Jonathan Loppin et Guillaume Constantin

Le 9 décembre 2014, nous sommes allez à la Galerie Duchamp dans le but de découvrir les œuvres du projet « Situation Room ». Les œuvres de ce projet ont été réalisées par Guillaume Constantin et Jonathan Loppin. 

Première impression dans l’exposition : en rentrant dans la salle notre première impression est que les artistes ont voulu nous faire connaitre leurs points de vue sur le monde actuel.

Les artistes jouent sur la modification des objets ou de leurs contexte, toutes les représentations sont disposés sur des socles réalisés par Guillaume Constantin faisant partit de l’exposition.
Les maquettes de Jonathan Loppin représentent des ensembles architecturaux évoquant des dommages de guerre ou bombardements, il utilise des maquettes qu’il récupère dans des agences immobilières.
Guillaume Constantin crée des supports qui mettent en valeurs des objets, mais qui sont aussi travaillés comme des sculptures. Il recycle un univers de chantier (médium …) pour réinventer un mode d’exposition créant une ambiance archéologique et  un mode d’exposition éloignée de celle d’un centre d’art contemporain.
Ce que nous retenons de cette sortie, c'est qu’une seule et même œuvre peut-être interprétée sous plusieurs angles.


Jonathan Loppin, Hole, 2014, plafond suspendu, installation in-situ

Mon impression est que c’est un contraste entre le neuf et l’ancien les planches en acier pliée avec le vide au centre où l’on peut apercevoir un planché ancien on peut se projeter dans le changement. Partir du nouveau pour pencher vers l’ancien et vice versa.
Loréline

Cette exposition de Guillaume Constantin et Jonathan Loppin m’a, dans un premier temps, intriguée, je ne comprenais pas trop ce que représentait  cette exposition. Grâce aux explications de Pascale j’ai réussi à voir le message retranscrit par ces œuvres. L’œuvre qui m’a le plus plu est celle qui est affichée ci-dessus car elle se fond dans le décor, on pourrait croire que c’est vraiment un trou dans le plafond et c’est celle que l’on voit le plus en rentrant dans la galerie.
Maeva


Jonathan Loppin, Zero Kill, extrait de la Collection d'impressions, 2014


Jonathan Loppin, Collection d'impressions, 2014

J’ai aimé cette collection de crane car c’est très original et je ne savais pas que les imprimantes en 3D existaient. De plus, c’est la première fois que je vois ce genre d’œuvre lors dune exposition. Ce qui m’as le plus intrigué est le trait noir qui se trouve sur chacune de ces œuvres.
Laureen



Guillaume Constantin, Les univers parallèles #3, #10, #1, #7, 2013-2014, livres ouverts, poudre de mdf teinté, miettes de pain, gomme laque

Guillaume Constantin, Cylindre des ivoires, 2014, cartes postales des ivoires du musée D'Yvetot

Mon œuvre préférée : « What Went Wrong », créée en 2011 par Guillaume Constantin, et faite de cuivre émaillé.

Ce qui me plaît dans cette œuvre c’est le fait qu’elle soit concrète et simple, et résume en trois mots l’exposition.
Victoire

L’œuvre que j’ai choisi est celle-ci :
Promotion rue du Champ des Oiseaux, 2013, Maquette d’exposition immobilière
http://www.paris-art.com/img_news/createur/g_Yvetot14Situation04bLoppin.jpg
111 x 101 x 45 cm


Les maquettes de Jonathan Loppin projettent un autre espace que celui de la galerie, celui de grands ensembles immobiliers. Elles s’éloignent souvent des codes esthétiques retrouvées dans les vitrines immobilières car elles ont été endommagées par la main de l’artiste (brûlées, déchirées, …) leur donnant un tout autre sens et semblant évoquer des dommages de guerre.
Victoria


Mon oeuvre préférée : Something Chaneph, 2012, objet trouvé, Caoutchouc et corde


Je la trouve originale car à la base c’est un simple « essuie-pied » dont le nom est paillasson. Mais le fait de l’avoir mit au mur lui donne un tout autre rôle, on dirait une porte, un tunnel. C’est l’effet de la perspective (3D).
Mégane





Pour moi cette œuvre fait très réaliste, car on peut voir que l’artiste a représenté un quartier qui a sans doute été détruit  par un attentat ou une autre catastrophe naturelle. Il a utilisé des maquettes d’agences immobilières ,  pour ensuite les détruire, ce qui m’a intéressé c’est la contradiction entre la maquette d’origine et se qu’elle devient.
C’est cette œuvre qui m’a le plus marqué car cela m’a fait fait penser  à ce que l’on voit aux info,  les attentats ou les catastrophes... 
Kody








C’est l’œuvre que j’ai préférée car elle nous montre des situations qui peuvent nous arriver. Sur cette œuvre on peut voire la difficulté qui peut nous arriver s’il arrive une tempête ou une autre catastrophe naturelle ou même une bombe. Cela nous rappelle que nous avons de la chance d’habiter dans un lieu où nous sommes en sécurité même si on est jamais à l’abri d’une catastrophe et que d’autres n’ont pas autant de chance car ils sont confrontés sans arrêt à des catastrophes naturelles ou même à des attaques de bombes. C’est pour cela que j’ai choisi cette œuvre car ça me fait penser à tout cela.
Justine L.



Nous trouvons que cette œuvre représente bien les dégâts que peut provoquer un feu ou une explosion sur une ville, nous constatons sur cette œuvre que les dégâts sont énormes et que ce genre de phénomène laisse beaucoup de traces. Cette œuvre nous a touchées et c’est pour cela que nous avons choisi de parler d’elle plutôt qu’une autre. Cette œuvre est choquante, car elle est angoissante, et fait peur. Elle montre ce que des bombardements peuvent faire sur une ville, qui est sans vie après cette catastrophe.
Manon et Justine


L’œuvre qui m’a le plus plu est celle qui montre les maisons et l’arbre brûlés. J’aime beaucoup cette œuvre parce que d’une part elle est  très bien réalisée, elle est également faite dans les moindres détails, les fenêtres détruite les explosions dans les murs et tous les détails des espaces verts. On voit très bien le contraste entre les endroits des immeubles qui ont été touchés et ceux que ne le sont pas. Il y a un vrai travail de fond sur cette œuvre qui est rappelé dans d’autres œuvres. Je trouve que Jonathan Lopin a fait un formidable travail. Cette œuvre est mon coup de cœur de l’exposition !
Camille P.



Nous pensons que cette œuvre est magnifique car elle est très réaliste. Cette œuvre nous montre la destruction, la cruauté de l’homme. Elle représente une ville suite à un bombardement, elle est ensevelie sous la poussière et les débris. On peut imaginer une ville détruite par un feu, un bombardement et une ville sans présence humaine. Cette œuvre fait réfléchir car elle fait référence à des guerres, et des attentats déjà provoqués par les hommes.
Camille et Alexa