Visite Galerie Duchamp, Interview



En arrivant à la Galerie Duchamp nous avons été accueillis par Pascale Rompteau, elle nous a fait visiter la galerie avec plaisir et une telle passion qu’elle a réussi à nous captiver, à nous emmener  dans son univers,  à la fin elle a accepté d’être interviewée voici l’article ci-dessous :   

Interwiev de pascale avec Kody, Laureen et Camille       

Kody : Quel genre d’artiste êtes-vous ?
Pascale : Mon travail artistique se rapproche plutôt de l’illustration.
K : Pourquoi vous êtes vous tournée vers l’art ? Qu’est ce qui vous a donné envie de devenir artiste ?
P : J’ai toujours été une rêveuse et l’art est devenu pour moi une façon de comprendre le monde et de l’appréhender. J’ai besoin d’être entourée des œuvres d’arts et d’artistes.
K : D’accord. Est-ce que ce métier vous passionne réellement ?
P : Oui, depuis l’âge de 17ans. Avant je ne pensais pas devenir artiste.
K : Vous êtes artiste mais vous êtes aussi médiatrice culturelle à la Galerie Duchamp. Depuis combien de temps exercez-vous ce métier ?
P : Depuis une quinzaine d’année.
K : C’est tout jeune en fait. J
Vous avez fait quelles études avant de faire ce métier ?
P : J’ai fais l’école des beaux Arts de Rouen. Mais il y a des écoles spécialisées pour apprendre la communication culturelle. Moi j’ai appris sur le tas.
K : Les expositions sont gratuites pour le public à la Galerie Duchamp ?
P : Oui. C’est entièrement gratuit parce qu’on bénéficie de subventions de la ville, de l’état et de la région. On est là pour accueillir le public.
K : Donc l’artiste vous ne donne rien ? Vous ne donnez rien à l’artiste ?
P : Si, si. En faite le public ne paie pas mais l’artiste est rémunéré, mal mais rémunéré. (rire)
K : Combien  de temps durent les expositions ?
P : Sur une période de 6 semaines l’exposition dure 1 mois et il y a 2 semaines pour mettre en place l’exposition et la démonter à la fin.
K : Est-ce que chaque artiste a son emplacement attitré ?
P : C’est en fonction du projet  de chaque artiste que les expositions sont installées.
K : Avez-vous beaucoup de public qui vient ? Des groupes scolaires ?
P : On a beaucoup d’enfants et d’adolescents qui viennent, mais aussi toutes sortes de public. On aimerait avoir plus de personnes âgées ou des personnes qui sont handicapées mais il y a le problème des escaliers, c’est un lieu qui est difficile d’accès.